Les méthodes d'exécution ont varié au cours du temps et incluent :
- le bûcher - la crucifixion pratiquée à Rome (révolte de Spartacus, par exemple) - la décapitation (à l'épée, à la hache ou à la guillotine) - l'écrasement - l'électrocution sur une chaise électrique - l'emmurement dans une chambre hermétiquement close (privation d'air, de nourriture et de boisson) - l'éventrement - la fusillade par un peloton d'exécution, destinée souvent aux militaires (sédition, désertion, rébellion...) - le gazage - l'huile bouillante (faux-monnayeur) - la strangulation (garrot) - utilisé en Espagne et sous le général Franco) - l'injection létale - la lapidation (sociétés orientales, entre autres islamiques) - la noyade - le pal, érigé en système par le prince Vlad Tepes (alias Dracula). - la pendaison (gibet, fourches patibulaires) - utilisée envers les condamnés à mort lors du Procès de Nuremberg - la roue
Méthodes diverses utilisant des animaux :
- écartèlement par des chevaux - dévoré par des animaux sauvages - écrasement par un éléphant
Ces méthodes étaient appliquées par un bourreau.
La plupart de ces méthodes d'exécutions ne sont plus aujourd'hui utilisées.
Celles employées aujourd'hui sont considérées comme plus humaines (destinées à faire souffrir le moins possible le condamné), exception faite de la lapidation.
Celles utilisées aujourd'hui sont :
- l'électrocution sur une chaise électrique (abandonnée aux États-Unis sauf au Nebraska) - la fusillade par un peloton d'exécution (rare, excepté pour des crimes militaires ou contre la sûreté de l'État, tels que la trahison ou en temps de guerre) - le gazage (pratiquement abandonné aux États-Unis) - l'injection létale (37 États des États-Unis sur 38 pratiquant la peine de mort) - la pendaison - le tir d'une balle dans la nuque du condamné (Chine)