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#101 : La Grande Évasion


Résumé : Au cours d’un braquage de banque, Michael Scofield est arrêté. Son avocate, Véronica Donovan, ne peut rien pour lui au tribunal puisque Michael refuse de se défendre. Il est alors conduit au Pénitencier d’Etat de Fox River. Et malgré sa condamnation, Michael à l’air satisfait. Sur place, il retrouve son frère, Lincoln Burrows, condamné à mort pour meurtre et qui sera exécuté par électrocution dans un mois jour pour jour... Michael est là pour le sauver !! Il a tout prévu pour s'évader...

Popularité


4.39 - 18 votes

Titre VO
Pilot

Titre VF
La Grande Évasion

Première diffusion
29.08.2005

Première diffusion en France
31.08.2006

Photos promo

Photo de l'épisode #1.01

Photo de l'épisode #1.01

Photo de l'épisode #1.01

Photo de l'épisode #1.01

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Photo de l'épisode #1.01

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Diffusions

Logo de la chaîne M6

France (redif)
Jeudi 15.06.2017 à 23:40
0.94m / 13.1% (Part)

Logo de la chaîne M6

France (inédit)
Lundi 29.08.2005 à 20:50
5.40m / 22.7% (Part)

Logo de la chaîne FOX

Etats-Unis (inédit)
Lundi 29.08.2005 à 20:00
10.50m / 4.6% (18-49)

Plus de détails

Durée : 45 min
 
Avec : Dominic Purcell, Wentworth Miller, Robin Tunney, Peter Stormare, Amaury Nolasco, Marshall Allman, Wade Williams, Paul Adelstein, Robert Knepper, Sarah Wayne Callies
 
Moments forts :

Le braquage de banque inattendu de Michael Scofield
L'arrivée de Michael au pénitencier de Fox River
La rencontre de Michael et du Dr Sara Tancredi
Les retrouvailles de Michael et Lincoln
Le tatouage du plan de la prison sur son torse et son dos

Prison Break – Épisode Pilote

L’épisode commence dans un salon de tatouage. Un jeune homme se fait tatouer les avants-bras. Il a déjà le dos tout tatoué. La femme qui a réalisé tous ses tatouages précise que généralement il faut des années pour réaliser un tel tatouage sur une surface aussi grande. Mais il n’a pas assez de temps pour ça.

Plan sur un canard – Art de l’origami.

Puis, il rentre chez lui… son mur est entièrement tapissé d’articles de journaux, de photos, de commentaires, de définitions scientifiques… Le nom de Lincoln Burrows apparaît souvent ! Il déchire tous les documents, retire son disque dur et le jette par la fenêtre. Puis, il se rend dans une banque et la braque ! ! Il ne tente pas de s’enfuir et à plutôt l’air satisfait lorsque la sirène de la police retentit. Il se fait arrêter sans discuter. Au procès, il reconnaît les faits. Son neveu, LJ, est présent dans la salle… il semble perdu. Son avocate, une amie, ne comprend pas le comportement de son client, Michael Scofield, qui ne fait aucun effort pour se défendre. En effet, ce n'est pas dans les habitudes de Michael de se faire remarquer. Il n’a jamais eu de problèmes et voilà qu’il commet un braquage sans raison particulière ! ?

En raison d’une absence de casier judiciaire, Michael Scofield est condamné à 5 ans de prison, libérable sur parole dans 2 ½ ans. La sentence est immédiate. Michael ayant émit le souhait d’être incarcéré dans une prison proche de son lieu d’habitation, il sera conduit au pénitencier de Fox River, Niveau I (niveau correspondant aux criminels les plus dangereux et les meurtriers). Michael est satisfait.

Plan sur la Fox River – Joliet Illinois.

Pendant les traditionnelles fouilles corporelles et autres pratiques d’usage, Michael se fait remarquer par le surveillant responsable, le Capitaine Brad BELLICK. Celui-ci constate que sur le dossier médical de Michael, il est notifié qu’il est diabétique de type 1.

Plan sur les cellules.

Veronica Donovan, l’avocate est soucieuse… et son ami reste auprès d’elle. Elle ne croit pas en la version de Michael car elle trouve que la coïncidence est trop étrange : le fait qu’il se retrouve dans la même prison que Lincoln Burrows.

Plan sur la pelouse de la prison.

Le nouveau colocataire de Michael, Fernando Sucre, l’informe de l’existence de groupe au sein de la prison et insiste sur le territoire de chacun. Il lui fait remarquer la présence de DB Cooper, qui aurait caché près d’un million de dollars avant son arrestation. Mais celui-ci nie toujours être cette personne.

Michael observe attentivement une première bouche d'incendie puis une bouche d'égout, une seconde bouche d’incendie et enfin la bouche d’égout qui se trouve au milieu du terrain. Il y jette un magazine. Michael est à la recherche d’un certain Lincoln Burrows dit Linc l’évier. Son coloc l’avertit qu’il a tué le frère du vice-président ! Il ne lui reste qu’un mois à vivre car il est condamné à la chaise électrique. Michael veut savoir comment faire pour lui parler… mais il n’existe que 2 solutions : la chapelle ou l’ IP (Industrie Pénitenciaire). Et seuls, les gars sans problèmes faisant preuve d’un talent particulier peuvent y travailler. De plus, l’IP est le domaine exclusif de John ABRUZZI, un détenu mafieux très dangereux. Fernando veut savoir pourquoi il s’intéresse autant à lui… et Michael lui répond « parce que c’est mon frère ».

Flashback :

Michael rend visite à son frère et lui demande droit dans les yeux s’il est coupable… Mais Lincoln assure qu’il est innocent et qu’il a été piégé. Sa demande a été rejetée ; il sera exécuté le 11 mai prochain.

Fernando veut demander la main de sa fiancée. Il lui écrit une lettre.

Pendant ce temps, LJ compte vendre un paquet de drogue avec un de ses potes… mais il se fait serrer aussitôt la marchandise en main. Il se retrouve au commissariat.

Michael va parler avec John Abruzzi pour lui soumettre son souhait de travailler à l’IP. Ses gardes du corps le repoussent et John se fout royalement de sa requête. Mais Michael insiste et prévient John qu’il aura sûrement besoin de lui… et, juste avant de rebrousser chemin, il lui dépose un canard en papier.

Entre temps, Maggio, un boucher mafieux reçoit la visite d’un « collègue » qui lui remet la photo de Fibonacci, l’homme qui a envoyé Abruzzi derrière les barreaux. Il l’a reçu par courrier mais la lettre était anonyme… Les hommes sont particulièrement intéressés puisqu’ils tiennent à se venger.

A l’infirmerie, Michael rencontre le Dr SaraTANCREDI, la fille du gouverneur. Une discussion s’ensuit et elle aiguise la curiosité du Dr . Etant donné son problème de diabète, ils seront amenés à se voir souvent.

- Michael : « Que fait la fille du gouverneur dans un tel endroit ? »
- Sara : « je pense qu’il faut faire partie de la solution, pas du problème »
- Michael : « le changement est l’affaire de tous, à commencer par soi-même »
- Sara : « ? ? ? »
- Michael : « Quoi ? »
- Sara : « Non rien, c’est juste que c’était ma citation de fin d’étude »
- Michael : « Ah bon, c’est de vous… ? Moi qui croyais que c’était de Gandhi… ! »
- Sara : « Très drôle, vraiment ! »

Pendant que le Dr a le dos tourné, Michael glisse un canard en papier dans la bouche d’égoût de l’infirmerie. Le petit canard commence à flotter…

Des hommes du gouvernement s’entretiennent au sujet de l’évêque McMurrow. Celui-ci étant contre l’exécution de Lincoln, il devient gênant. Ils décident de lui rendre une petite visite de courtoisie.

A la chapelle, Lincoln prie, assis au premier rang, les mains menottées. Son frère est présent à quelques pas de lui et lorsque Lincoln se relève… il tombe nez à nez avec Michael. D’abord surpris, il est ensuite inquiet. Que fait son jeune frère en prison ? Ils discutent brièvement et Michael l’informe qu’il va le sortir de là. Lincoln lui répond que c’est impossible. Mais Michael insiste : « pas si on a conçu les plans de la prison ! ».

Le petit ami de Veronica a des doutes car elle recule sans cesse le mariage… mais elle le rassure. Elle est juste prudente et souhaite que tout soit parfait.

Lors de la visite conjugale de Fernando, sa fiancée accepte sa demande en mariage. Fernando est fou de joie jusqu’à ce qu’il demande comment elle est venue. Elle lui répond que c’est Hector qui la conduite. Fernando est hors de lui… car il n’a pas du tout confiance en Hector. Mais il doit rester calme car dans 16 mois, Fernando sera libéré.

Pope, le Directeur de la prison, souhaite voir Michael ce qui ne présage rien de bon. Il ressort son dossier et le lit devant lui. Premier de votre promo à Loyola, Ingénieur du génie civil... bref, tout ce dont à besoin Pope en ce moment. Il construit une réplique exacte du Taj Mahal pour sa femme et leur 40ème anniversaire de mariage mais il pense que la charpente n’est pas assez solide, il demande de l’aide à Michael. Celui-ci refuse. Pope est agacé.

LJ se fait sermonner par sa mère à propos du kilo d’herbe qu’il comptait revendre. Elle l’oblige à rendre visite à son père… LJ est furieux mais n’a pas le choix.

Michael reçoit la visite de Veronica qui a enfin comprit pourquoi il s’est laissé enfermer dans la même prison que son frère. Elle l’a elle-même très bien connue puisqu’elle le fréquentait à une époque. Michael lui dit qu’il faut relancer l’enquête mais Veronica se fie aux preuves et ne croit pas à la version du piège. De plus, l’évêque McMurrow a beaucoup d’influence auprès du gouverneur et il se peut que Lincoln obtienne un sursis. En partant, Veronica signe le registre et Lincoln l’entraperçoit.

Les agents Paul Kellerman et Danny Hale tentent d'intimider et corrompre les croyances de l’évêque mais ce dernier résiste et refuse poliment leur «offre»; à savoir ; laisser tomber l’affaire Burrows.

De son côté, Abruzzi reçoit un coup de fil l’avertissant qu’un informateur connaît le lieu où se cache Fibonacci… mais que le courrier est anonyme. L’enveloppe, en plus de la photo, contient seulement un canard en papier ! !

Le canard que Michael a jeté dans la bouche d’égout de l’infirmerie a finalement atterrit juste à côté du magazine…

Michael va ensuite s’entretenir avec Charles Westmoreland qui nie toujours être DB Cooper. Au même moment, la troupe d’Abruzzi débarque et s’en prend à Michael. Une bagarre a lieu. Il reçoit une sévère correction mais ne crache pas le morceau… au sujet de Fibonacci. L’altercation est stoppée par un tireur de la tour.

Michael se retrouve dans le bureau de Pope. Ce dernier l’ayant toujours mauvaise, il compte enfermer Scofield au cachot pendant 90 jours ! ! ! Michael ne peut se le permettre. Nous sommes le 11 avril, il reste seulement un mois à Michael pour faire sortir son frère de prison. Il décide alors de l’aider à peaufiner sa construction du Taj Mahal… Pope s’en réjouit.

Pendant la nuit, l’évêque se fait assassiner dans son propre lit. Veronica l’apprend et comprend que Michael avait raison. Lincoln aurait bien été piégé. Elle ressort sa déposition d’origine.

Lincoln reçoit la visite inespérée de son fils, LJ et tente de lui mettre du plomb dans la cervelle. Mais celui-ci s’en moque éperdument et considère même que son père est déjà mort ! ! !

Le Dr Tancredi remarque un taux anormal de glucose dans le sang de Michael comme si son corps réagissait mal à l’insuline. Elle commence à avoir des doutes sur son diabète et lui explique qu’à leur prochaine visite, elle fera un test plus approfondi.

Michael demande à un détenu dénommé C-Note de lui procurer un bloqueur d’insuline très rapidement. Une fois dans sa cellule, il reçoit une carte de membre d’IP. Michael a réussit et retrouve son frère aux travaux de peinture. Une fois seuls dans les vestiaires, Lincoln demande à son frère comment il compte si prendre. Michael lui répond qu’il a tout combiné et qu’il a obtenu les plans. Mieux, il les a sur lui ! ! ! Et Michael dévoile son tatouage… Un tatouage immense qui couvre tout son buste.

FIN -

Mickael chez le tatoueur

 

Mickael se fait tatouer tout le haut du corps

Tatoueuse : Eh Voila ! Attend juste un dernier coup d'oeil avant que tu partes.

Mickael : Tu es une artiste Side

Tatoueuse : Alors comme ça tu vas sortir d'ici et je te reverrais plus jamais. C'est vrai ?

Mickael : Il y a de grandes chances, ouais.

Tatoueuse : D'habitude les gens préfèrent commencer par quelque chose de petit comme "Je t'aime Maman"ou les initiales de la meuf du jour. Toi non tu t'es fait faire tout le haut du corps en à peine deux mois. Y en a qui mettent des années avant d'avoir ce que tu as.

Mickael : Je n'ai pas des années devant moi. J'aimerai bien les avoirs.

 

Mickael dans son appartement

Il enlève tous ces documents accrochés sur les murs et balance le disque dur de son ordinateur dans l'eau

Mickael : Dernier appel rejeté pour Lincoln Burrows. Exécution prévue le 11 Mai.

 

Dans une Banque

Mickael lance un coup de feu dans une banque et demande d'ouvrir un coffre.

Mickael : Le Coffre ! Ouvrez le.

Banquière : Impossible, notre directeur d'agence n'est pas là. 

Mickael : Où est t-il ?

Banquière : C'est la pose déjeuner, il est au White Castle vous savez le fast food là ou ils servent ces sortes de sandwich pain bio.

Mickael : Je vois très bien ce que c'est. Je ne plaisante ps ouvrez le !

Banquière: Monsieur vous avez déjà 500 000 dollars en liquide dans votre sac. Vous ne pensez pas qu'il vaudrait mieux pour vous que vous sortiez avant que ...

La police arrive. Mickael met ses mains en l'air et jette ses armes

 

Dans le Tribunal


Mickael est entrain d'être jugé pour le délit qu'il a commis à la banque.

Juge : Il est rare dans une affaire de mains a vol armé d'entendre l'accusé reconnaître tous les faits. Maintenez vous cette position M. Scofield ?

Mickael : Absolument votre honneur.

Veronica (Avocate de Mickael) : Votre honneur nous aimerions suspendre l'audience, mon client est un peu perturbé en ce moment.

Mickael : C'est faux votre honneur.

Veronica : C'est la vérité votre honneur.

Juge : Vous devriez peut être écouter les bons conseils de votre avocate. Je vous laisse encore un peu de temps pour réfléchir à votre réponse.

Mickael : J'y est déjà réfléchie, votre honneur.

Juge : Je vais devoir me retirer pour déterminer la sentence. L'audience est suspendue jusqu'a 13heures 30.

Policier (à Mickael) : Levez vous !

LJ : Oncle Mike ...

Mickael (à LJ)  : Je ne voulais pas que tu viennes. Rentre chez toi LJ. Je ne veux pas que tu vois ça.

Dans une prison

Mickael parle avec Veronica pendant qu'on l'expédie dans une cellule.

Mickael : Il va très mal le prendre.

Veronica : Quoi de plus normal Mickael c'est ton neveu. Et il commence à se faire à l'idée que des qu'il s'attache à quelqu'un il le voit un jour ou l'autre finir en prison. Il n'est pas le seul à commencer a éprouver ce sentiment.

On peut avoir une minute ? ( au policier)

Policier : Une minute.

Veronica : Tu comprends pas ce que tu as fait ? Tu as donné le bâton à cette femme pour te faire battre. Elle ne va pas hésiter à s'en servir. Justice et châtiment c'est du pareil au même pour ce juste.

Mickael : Je sais.

Veronica : Alors est ce que tu vas me dire ce que tu as dans la tête ?

Mickael : On a déjà parlé de ça je crois.

Veronica : Je te connais depuis que je suis née et je sais que tu ne possède pas une once de violence. Et je sais aussi que tu n'avais pas besoin de cette argent.

Mickael : Veronica ?

Veronica : Pourquoi tu refuses mon aide ? Pourquoi tu fais ça ?

Michael : Toute ma vie tu m'as aidé, plus que personnes. Toute ma vie. Mais la tu dois me laisser agir seul. D'accord.

Dans le Tribunal

Juge : Etant donné l'absence d'antécédent criminel j'opterais pour un sursis avec mise à l'épreuve. Toute fois le fait que vous ayez fait usage d'une arme a feu pendant l'accomplissement  du délit révèle une certaine propension à la violence. Pour cette raison j'estime indispensable que vous alliez voir d'intérieur ce que c'est une prison M. Scofield. Je lis dans votre dossier que vous avez demandé à être incarcéré près de votre domicile ici à Chicago. Je vais répondre à cette attente, l'établissement de niveau I le plus proche ...

Veronica : De niveau I, c'est une prison de haute sécurité votre honneur.

Juge : J'opprimerai la défense de s'abstenir de me couper la parole. Ainsi que je le disais l'établissement de niveau I le plus proche et qui vous accueillera sera le pénitencier d'état de Fox River. Quant à la durée de votre peine je la fixe  5 ans. Je pourrai faire une demande de liberté conditionnel à la moitié de cette période. Cette peine prend effet immédiatement.

 

Mickael fait son entré à Fox River

 

 

Mickael fait son entré dans le pénitencier d’état de Fox River, il s’amuse à provoquer Bellick (Gardien).

Gardien :(parlant aux nouveaux prisonniers faisant leur entrée à Fox River) : Allez on s’active on a pas toute la journée. On ne parle pas dans la fille on la boucle. Allez on sort de la direction le vestiaire et on se rhabille. Allez, allez on y va on ne perd pas de temps allez !

Bellick (parlant à Mickael) : Nom et Numéro ?

Mickael : Scofield Mickael 94941

Bellick : Est-ce que tu as la foi Scofield ?

Mickael : Je ne me suis jamais posé la question.

Bellick : Ok ici les 10 commandements ne valent pas un bocal de crottes on a que deux commandements et seulement deux. Le premiers c’est ici t’as rien a espérer.

Mickael : Quel est le seconde commandement ?

Bellick : Voir commandement numéro 1.

Mickael : ( se fou de lui en lui riant au nez) Ouais je vous suis 

Bellick : T’es du genre à parler à l’air ?

Mickael : Redite moi ça ?

Bellick : Est-ce que tu es un péteu qui ramène sa science.

Mickael : Je veux juste voler sous le regard et pas le faire remarquer. Faire mon temps et sortir.

Bellick : Ici personne ne peut voler sous mon regard

Mickael : Bon à savoir.

Bellick lui fait un signe de tête pour qu’il parte.

 

Mickael dans sa cellule.

Prisonnier ( s’adressant à un gardien ) Oh, tu peux pas faire ce qu’il faut pour envoyer la clim jusque la. Il fait chaud comme dans un ……à Chit

Prisonnier 1 : Tu fais chier avec ta clim, ramène nous plutôt ton chit.

Prisonnier : Je te la payerai ta clope. 

Prisonnier 2 (parlant à Mickael de sa cellule à la sienne) : Oh, le nouveau qu’Est-ce que tu regardes la ? T’as l’air bien propre pour ça mec. 

Sucre (collègue de cellules) : Tu devrais t’assoir le nouveau. Ici il y a vraiment rie d’autre à faire que de tirer sa peine. Et personne ne la tirera pour toi.

Un prisonnier se fait poignarder par quelqu’un d’autre. Il pisse le sang et hurle.

Un gars : Arrête ton cirque debout !

Prisonnier : Il pisse le sang là.  Comment il a saigné ?

Prisonnier 1 : Oua la vache. 

Sucre  : ( à Mickael ) : Bienvenue à Prison Land gueule d’ange.

 

Prison Fox River  - Extérieur.

 


Sucre  (montrant le terrain basket à Mickael) :Les diables du poker ont squattés le panier. Les Boltenos tiennent les gradins. Les woulds les altères et les barres. Les Matons tiennent le reste. Tu peux me croire hein, un de tous les gangs qu’il y a ici c’est celui des gardiens qui est le plus pourris. La seule différence entre eux et nous, c’est leurs petits insignes.

Mickael : C’est qui l’amoureux des bêtes ?

Sucre : Il te dira que non mais c’est DB Cooper, le mec qui a sauté en parachute il y a  30 ans avec un millions et demi de dollars.

Mickael : Il n’a pas la tête de l’emploie.

Sucre : Y’en a qui l’ont ? Yeh, comment ça gaz le soldeur ? (en parlant à un autre gars)

Gars (le soldeur) : Ca ira mieux tout à l’heure. Qu’Est-ce que tu fous avec ce nouveau mec ?

Sucre : Ils l’ont mis dans ma cage. Les soldeur il a de super plan avec le gars de la l’intendance t’as qu’a dire ce qui te faut et lui il te le trouve.

Gars (le soldeur) : Continue à me balancer à tout le monde et un jours je te ferai bouffer tes olives.

Sucre : Comment ça des olives ? Putain, t’as pas le compas dans l’œil ou quoi ! T’es complètement à côté de la plaque. Ouais des menaces et encore des menaces. Tu causes beaucoup toi  mais …

Pendant le temps de la dispute Mickael regarde les alentours de la prison d’extérieur, il jette un magazine à travers un plaque d’égout.

Mickael : Il faut que je vois un type, un nommé Lincoln Burrows. 

Gars (le soldeur) : Link le déluge ?

Mickael : C’est comme ça que vous l’appelez ?

Gars (le soldeur) : Oui, car puisque ce qui l’attend il doit se dire après moi le déluge. Blanche Neige !

Mickael : Ou je peux le trouver ?

Gars (le soldeur) : Oui, car puisque ce qui l’attend il doit se dire après moi le déluge. Blanche Neige !

Mickael : Ou je peux le trouver ?

Sucre : Il a tué le frères de la VICE PRESIDENTE, il passe sur la chaise dans un mois, ce qui veut dire que dans toute la prison il n’y a pas plus dangereux que lui., parce ce que le mec il n’a plus rien a perdre. Qu’est-ce qui vont faire, ils vont le buter deux fois.

Mickael : Il y a un moyen pour l’approcher.

Ils  regardent Lincoln dehors tout seul enfermé.

Sucre : Non, ces type la ils ne peuvent sortir que pour aller à la chapelle ou TP.
Mickael : TP c’est quoi ?

Sucre : Travail pénitencier. Les gars qui se tiennent un carreau ils peuvent bosser, ils ont des trucs à peindre ou fabriquer des matelas, des trucs comme çà. Moi si j’étais toi, je ne m’emballerai pas trop vite, t’as pas idées de ce que c’est le TP.

Mickael : Comment ça ?

Sucre : C’est John Abruzzi qui le contrôle !

Mickael : John Abruzzi, John Abruzzi !

Sucre : Pourquoi tu tiens tellement à voir Burrows ?

Mickael : Parce que c’est mon frère !




Mickael tout seul dans les couloirs

 
Il joue avec un petit cygne en papier, et il est dans ses pensées.


FLASHBACK

                     


Mickael se retrouve dans le passé à parler avec son frères au parloir.


Lincoln : Ils ont rejeté l’appel

Mickael : Essaye encore

Lincoln : Je peux pas. C’est finis c’est pour le 11 mai c’est la date Mickael.  C’est le jours ou ils vont m’exécuter

Mickael : Je sais. 

Lincoln : Je l’ai pas tué Mickael

Michael : Toutes les preuves disent que si.

Lincoln : Je m’en fiche de se que disent les preuves. Je  l’ai pas-tué je te dis.

Mickael : Jure le moi.

Lincoln : Je te le jure Mickael

Mickael : Alors comment ils ont pus se tromper. Le tribunal, la cour d’appel.

Lincoln : J’en sais rien. Tout ce que je me dis quand j’y repense c’est que c’était un coup monté contre moi et celui qui veut me faire porter le chapeau veut  voir dans la tombe le plus vite possible.

Mickael : Alors comment ils ont put se tromper. Le tribunal, la cour d’appel.

FIN FLASHBACK

 

Mickael et Sucre dans leurs cellules

 

Sucre est entrain d'écrire une lettre à sa femme, il demande des conseils à Mickael.


Sucre : Ta pas un autre mot pour amour ?

Mickael :Dans quel contexte?

Sucre :Oh, tu sais.Un contexte du genre "Je t'aime tellement que je ne cambriolerai plus jamais de magasins pour de l'alcool.". Mais en plus classe, tu vois. Je fais ma demande à ma nana, si tu veux tout savoir.

Mickael : Par courrier?

Sucre :Tu as un meilleurs moyen.

Mickael : De vives voix ça marche pas mal.

Sucre : C'est pas vraiment ce qu'il y a de plus romantique la cabane.Je vais lui faire prendre le ferry de Staten Island. Et quand elle verra l'Empire State Building. Elle ouvrira la lettre et ça sera comme si j'y étais. Bon enfin, à pars que je n'y serais pas.

Mickael : Essaye "passion".

Sucre : Oh! Oh! "Passion. Passion" C'est top ça. Passion. Comment tu l'écris ? CPAC

Mickael lui fait un signe pour lui faire savoir que c'est mauvais.

Sucre: Pas de C

 

LJ et son copain en vélo

Lj est son copain partent se procurer de la drogue, mais par manque de peau ils se font prendre la main dans le sac.

Copain : Lj Attends ! Je ne suis pas sur de vouloir le faire.

Lj :Tu verras ça va rouler.Allez crois moi.

Le dealer sort de chez lui et ramène sa marchandise.

Dealer : On s'est bien compris !

LJ : Hein !

Dealer : VENDREDI.Ni samedi, ni dimanche. Vendredi.

LJ : T'inquiète pas c'est clair.

Dealer : Et pas de billets de 100, pas de billets de 5 et pas de billets de 1.

LJ : Ouais, Ouais c'est vu. Que des 10 et des 20.

Le dealeurs repart chez lui et LJ et son copain se font prendre par la police ils ne peuvent pas fuir.

Policier : Police

 

Fox River - Extérieur

Mickael vient demander à Abruzzi de le prendre au TP

Mickael : Abruzzi. Il faut que tu me prenne au TP.

Abruzzi : Barre toi.

Mickael : Tu devrais peut être écouter ce que j'ai à te dire.

Abruzzi : Tu ne m'ais d'aucune utilité.

Mickael lui faire voir son cygne en papier.

Mickael : J'en serai pas aussi sur.

Abruzzi : J'ai parlé trop vite, voila ce qui me sera utile. Un canard !(en rigolant)

Mickael : Prends moi au TP Abruzzi, tu me trouveras peut être beaucoup plus utiles que tu ne le crois. Prends le temps d'y penser. Et viens me voir quand tu voudras qu'on discute?

 

Dans une chambre froide.

 

Maggio : Allez les gars. Mettez en un coup je n'ai pas envie de finir à minuit.

Gars : Maggio !

Maggio : Eh Alors.

Gars : C'est le fils de pute qui a dénoncé Abbruzi.

Maggio : C'est FibanaccI.

Gars : je croyais que ce minable était partie pour toujours, mais quelqu'un l'a retrouvé apparement.

Maggio : Et tu crois qu'on se fout de notre gueule ?

Gars : Et ça tu ne voudras jamais le croire.

Maggio ouvre la lettre que le gars lui a donné. 

Maggio : Qu'est ce que c'est ?

A l'infirmerie de Fox River.

Le docteur Tancredi fait une piqûre d'insuline à Mickael puisqu'il est diabétique.

Docteur : Ce tatouage à l'air récent. Tenez ça.Je suppose qu'en temps que diabétique vous ne craignez pas les piqûre.

Mickael : Au faite, je m'appel Mickael.

Docteur : Scofield. J'ai lu votre dossier.

Mickael : Et vous êtes ?

Docteur : Docteur Tancredi suffira.

Mickael : Tancredi, comme le gouverneur ? Vous êtes de sa famille. On s'attend pas à voir la fille de Frank le justice à l'ancienne à travailler dans une prison. Et en plus, en tant que médecin.

Docteur : Je pense qu'il faut faire partie de la solution, pas du problème.

Mickael : Hum " Soit le changement que tu veux voir dans le Monde" Quoi ?

Docteur : Rien c'était ma grande phrase

Mickael : C'était de vous. Moi qui esr toujours pensait que c'était de Gandhi.

Docteur : (qui rigole) : Hum ! Vous êtes très drôles. Attendez une minute maintenez la compresse je reviens tout de suite.

Pendant ce temps Mickael lance son petit cygne en papier par la grille d'égouts.

Mickael : Alors comment on fait vous me donnez ce qui faut pour tenir quelques semaines.

Docteur : C'était bien essayé mais pas de seringue à l'étage.

Mickael :Je suis vraiment loin d'être un camé docteur faite moi confiances.

Docteur : J'ai une info pour vous Mickael. Faites moi confiance n'est pas une expression qui a cours dans cette prison. Alors vous n'aurez ces piqure d'insuline que si c'est moi qui vous l'aient fait.

Mickael : Si c'est comme ça. On va souvent se revoir.

Docteur : Y a des chances.

 

Secret Service Headquarters Washington, D.C.

Hale vient rapporter des informations sur  Lincoln

Hale : On a le champs libre pour l'exécution de Burrows.

Kellerman : Bien. 

Hale : Juste un petit soucis, l'évêque Mac ...... ne rentre pas dans le moule. Il a beaucoup d'influence auprès du gouverneur. Ils sont allés au même collège privé apparemment. Plus on s'approche de l'échéance, plus je me demande si cette affaire ne va pas nous exploser à la figure.

Kellerman : Le moment est peut être venu de rendre visite à ce bon Eric. Dans un moi tout sera terminé.

 

Dans la chapelle de Fox River

Lincoln suit la cérémonie du curé. 

Prêtre : Il faut que le fils de l'homme soit livré aux mains des hommes pêcheurs. Qu'il soit crucifié et que le troisième jours il ressuscite. Alors elles se rappelèrent ces paroles comme je vous y invite. Bonne journée Monsieur que Dieu soit avec vous.

Lincoln rencontre Mickael et lui explique qu'il a plan pour sortir d'ici.

Lincoln : Mickael ! Pourquoi ?

Mickael : Je vais te sortir d'ici

Gardien: Burrows. Bouges toi la petite fête est terminée. 

Lincoln : C'est impossible.

Mickael : Pas quant on a conçu les plans des bâtiments. Là  c'est possible.

 

Maison Veronica 

Veronica est en train de cherche une carte pour les invitations de leur mariage, mais celle ci ne se décide pas.

Veronica : Trop officiel. Trop carte de voeux.

Son conjoint : Tu sais un moment ou un autre, il faudra qu'on se décide il me semble.

Veronica : On a le temps.

Son conjoint : Non on a pas le temps ma chérie. C'est vrai quoi au bout d'un certain temps il faut donner le coup d'envoie.

Veronica : Je ne veux pas me précipiter on ne le fer qu'une fois alors on doit le faire bien.

Son conjoint : Chérie, j'ai une question. Je peux ?

Veronica : Oui. Biensur

Son conjoint : Tu as peur de sauter le pas ?

Veronica : Si j'ai peur.

Son conjoint : Oui est ce que tu as peur est ce que tu as des doutes. 

Veronica : Non, je t'assure que non. J'en ai pas.

Son Conjoint : Quelque chose me dit que si tu es hésitante c'est à cause ...

Veronica : Non. Je t(aime et je veux être ta femme.

Son conjoint : je te crois.

Les deux amoureux d'embrassent.

 

Cellule de Prison Mickael et Sucre.

Sucre s'explique à propos de la lettre qu'il a envoyé à sa copine ou Mickael l'a aidé. 

Sucre : Passion. Ou t'avais la tête hein ?

Mickael : Et, c'est toi qui l'a voulu.

Sucre : Elle a surement du penser que j'avais viré pèdez. Passion, dire un mot qui a plus d'une syllabe, c'est trop de parlotes ça sert à rien. A partir de maintenant je suis Sucre le monosyllabe : oui, no, chouette, naze; Chouette !

Mickael : Laisse lui le temps. 

Sucre : Tu rigoles. C'est ma demande que je lui ai faite. Du temps il n'y en a pas besoin. Oui ou non, une seule syllabe mec. On avait prévu qu'elle vienne mardi pour une visite conjugal. Elle m'appel toujours un peu avant pour me dire c'est bon qu'elle va venir. Et cette fois Mec, rien du tout même pas une .............. . Tu lui as mis la trouille. 

Un gardien appel Scofield.

Gardien : Scofield resserre tes boulons, le pope veut te parler deux secondes.

Sucre : Ah ça sent mauvais ça. Personne n'est demandé par le pope. Non ou alors c'est qu'il pense que tu mijotes quelque chose.

 

Bureau directeur de Fox River

Le directeur parle du pourquoi est ce que Mickael est ici ?

Directeur : Majeur de promotion à l'université de Loyola avec mention très bien. En ayant lire votre bagage on ne peux s'empêcher de se demander comment une personne comme vous puis je échouer ici.

Mickael : Il y a quelques mois j'ai du prendre un mauvais tourment.

Directeur : Ce n'est pas une infraction au code de la route que vous avez commis. Comme si que tout ce que vous avez fait, n'était que d'avoir pris un sens interdit.

Mickael : Un jours ou l'autre on prend tous un centre interdit.

Directeur : Vous êtes ici parce que j'ai noté que dans votre dossier d'incarcération  dans la rubrique profession que vous avez écrit demandeur d'emploie et je sais que c'est inexacte. Je sais que vous êtes ingénieur en génie civil Scofield.

Directeur : Femme de fonctionnaire de pénitencier c'est une horrible chose, chose qu'on ne souhaite a personne. Et pourtant en 39 ans, ma femme ne c'est jamais plein  d'une seule fois. Et le plus terrible c'est que je ne l'ai jamais remercié. Alors puisque je n'ai pas pu lui dire, j'ai pensé que je pourrais le représenter. Au mois de juin nous fêteront notre quarantième anniversaire de mariages. Mais tenez regardait le problème est que si je poursuis la construction tout l'édifice va s'éffondrer comme un château de cartes. C'est pour ça que j'espérait beaucoup de votre aide. Et moi en retour je vous offre trois jours de travail par semaine dans cette pièce. Ce qui vous évitera la promenade dans le cours.

Mickael : Non désolé !

Directeur : Jeune homme, il est préférale que ce soit moi qui vous soit redevable ici plûtot que l'inverse je peux vous le garantir.

Mickael : j'en assumerai les risques. 

Directeur : Alors l'affaire est close. Gardien.

 

Chez LJ Burrows

Celui ci se fait disputer par sa mère à propos de son trafic de drogues.

Mère : Un kilo de Marijuana. Qu'est ce que tu comptais faire battre un record. Ca n'a rien de drôle LJ. Tu pourrais aller en prison pour ça. Il me semble évident que tu as besoin d'être repris en main.

Celui ci viens chercher quelque chose et repart.

Beau Père de LJ : Ca va chérie.Merci

LJ : Par qui, par celui qui me set de beau père.

Mère : Soit pas si dur, c'est quelqu'un de bien.

LJ : Lui et moi on a rien en commun.

Mère : Mais qu'est ce qui t'arrives en ce moment, au dernier semestre tu n'avais quasiment que des A et maintenant tu n'... . C'es à cause de ton père.

LJ : Quel père. J'ai pas de père.

Mère : Tu n'es pas né pas l'opération du Saint Esprit mon chérie croit moi. Peut être que c'est le moment d'aller le voir.

LJ : Maman, Maman ! Non

Mère : Je te promets que cette idée ne m'enchante pas plus que toi mais tu as besoins qu'il te parle. Tu as beaucoup trop de possibilités d'avenir pour qu'on te laisse foutre ta vie en l'air.

Fox River - Salle de visites.

Veronica vient rendre visite à Mickael pour avoir des explications.

Veronica : Et si on t'avais envoyé à la prison de Taylor Ville ou Marianne au lieu de celle ci.

Mickael : Je crois que j'aurais fait exactement la même chose qu'ici. Manger de la compote et boire de la limonade.

Veronica : Je sais très bien ce que tu fais. Ce n'est pas par hasard que tu es ici avec Lincoln. N'oublie pas que je vous connais toi aussi bien que lui. Votre notion de l'amour est la plus déroutante de toutes celle que j'ai pu connaître. Il te fichait des raclés pour te passer l'envie de trainer dans les rues alors tu t'es fait enfermer à Fox River avec lui. Et Pourquoi Hein ? Le sauver ? J'ai le droit de savoir tu sais je l'aimait au moins autant que tu l'aimais.

Mickael : Parles de lui au passé si tu préfère. Pas moi.

Veronica : Quand je suis revenue de la fac, je me suis démenée et j'ai tout tenté. Même avec ce qu'il était entrain de vivre j'ai tout fait pour que sa redémarre et malgré sa il a tiré un trait.

Mickael : Il ne t'ai jamais venu à l'idée qu'il avait pu souffrir de ton départ.

Veronica a les larmes au yeux.

Veronica : Surtout ne fais pas ça. Je ne sais pas ce que tu as en tête mais ne le fait pas il y a de meilleurs moyens. J'ai porté ton affaire en appel.

Mickael : Je t'avais dit de ne pas intervenir.

Veronica : J'ai contacté le diocèse à propos de Lincoln et l'évêque va peut être nous aider.

Mickael : Ca ne le sauvera pas, ça ne lui donnera qu'un sursis. Tu veux lui rendre service, alors découvre qui l'a fait plonger.

Veronica :Personne ne l'a fait plonger. Personne, toutes les preuves étaient réunies.

Mickael : Toutes les preuves réunies par d'autres.

Gardien : les visites sont terminées.

La sonnerie sonne et Mickael et Veronica se prennent dans les bras.

Veronica : Soit prudent Mickael.

Mickael : Quelqu'un veut sa mort Véronica. Quelqu'un qui tire les ficelles depuis le début.

Veronica : C'est du désespoir ça Mickael. Tu refuses de voir la vérité en face. 

Mickael : Possible, mais je ne le regarderai pas mourir. Il n'en est pas question.

 

Fox River

Lincoln  se fait ramener dans sa cellule, et il voit le visage de Veronica à travers une vitre.

Bishop McMorrow Residence

 

Kellerman et Hale viennent rendre visite à l'évêque qui s'oppose à la peine de mort.

Evêque : Alors en quoi puis je vous aider dans l'affaire Lincoln Burrows

Kellerman : Nous croyons savoir que vous avez une grande influence auprès du gouverneur.

Evêque : Je ne dirai pas qu'elle est grande, si influence il y a. Mais nous sommes amis.

Kellerman : Mais nous croyons également savoir que vous êtes opposé à la peine capitale.

Evêque : En tant que homme de Dieu c'est naturel. Non ?

Kellerman : Dans le cas présent, nous souhaiterons que vous reveniez sur cette proposition. Du moins provisoirement. 

Evêque : Et si cet homme en appel à mon devoir d'intervention. Comment puis je l'abandonner à son sort ?

Kellerman : Vous avez la manie de répondre à une question par une question.

Evêque : Et vous avez l'air de poser des questions qui en appel immédiatement d'autres.

Kellerman : Cela veut dire que vous refusez ?

Evêque : Je n'ai pas l'habitiude d'être équivoque. 

Kellerman : Vous avez 62 ans mon seigneur. N'ai se pas ?

Evêque : C'est exacte.

Kellerman : Alors je suppose que vous savez comment fonctionne le système d'imposition de ce pays. Tirez des bénéfices personnels par le biais de l'échappatoire fiscale de l'église. Cela s'appellerait de la faute fiscale je crois.

Evêque : Je ne me laisserai pas contraindre à abandonner mes convictions profondes ni par vous et ni par un autre.

Kellerman : Admirable. Au revoir mon seigneur.

Kellerman part avec Hale de chez le prêtre.

Evêque : Qu'a donc cette affaire de si particulier pour que les services secrets s'y intéressent tant ?

Kellerman : Burrows a tué le frère de la vice Présidente.

PRISON BREAK
1X01 - PILOT
Original Airdate (FOX): 29-AUG-05

WRITTEN BY PAUL SCHEURING
DIRECTED BY BRETT RATNER

COLD OPEN:

[INT. TATTOO PARLOUR-NIGHT]

Tattoo Artist: (Finishes the final touches on “ENGLISH, PERCY & FITZ”.) Set of sleeves all in a couple of months. Takes guys years to get the kind of ink you’ve done.

(Micheal puts his shirt back on)

Micheal: I don’t have a few years. (Fixes his collar) Wish to hell I did. (He gives her a few bills)

CUT TO:

[EXT. CHICAGO-NIGHT]

(Pan over of Chicago nightlife.)

(Micheal walks through his high rise apartment to a large wall covered in newspaper clippings and starts tearing them down, revealing a large window. He puts the articles into a box. Then Micheal takes the hard drive chip from his computer and walks out onto the balcony. Giving a sigh, he heaves it into the river.)

CUT TO:

[EXT. CHICAGO SAVINGS BANK-DAY]

CUT TO:

[INT.MAIN AREA OF THE BANK-DAY]

Micheal: (Fires three rounds into the air, then points the gun at the clerk) The vault. Open it.

Clerk: We can’t. The branch manager’s not here.

Micheal: (Looks away and back at her.) Where is he?

Clerk: (She has the side of her head glued to the counter.) It’s lunchtime, he’s at Whitecastle.

Micheal: (Surprised) Whitecastle?

Clerk: It’s a fast food restaurant that serves those little square burgers.

Micheal: I know what it is. (Fires another two rounds in to the air, then points the gun back at her.) I’m not playing games.

Clerk: Sir, you have half a million in your bag already. Don’t you think it would be better…?

(Police sirens wail right outside. Micheal puts his hands up, closes his eyes and takes a deep breath. When he opens them again he’s smiling slightly and turns.)

Police Officer: This is the police, you are completely surrounded.

CUT TO:

[EXT. SAVINGS BANK-DAY]

(Police Officers are stationed behind their vehicles, pointing guns at the bank entrance.)

Police Officer: Put down your weapon.

CUT BACK TO:

[INT. MAIN AREA OF THE BANK-DAY]

(Micheal pulls another gun from its holster, raises both hands into the air and drops them.)

COLD CUT TO:

[INT. COURTROOM-DAY]

Judge: Rarely in the case of armed robbery do we hear a plea of no contest. Are you sure about this, Mr.Scofield?

Micheal: (Sitting in the defendant’s chair) I’m sure Your Honor.

Veronica: You Honor, we’d like to recess if we could, me client’s a bit confused at the moment.

Micheal: I’m not Your Honor. (Veronica looks at him.)

Veronica: He is Your Honor. (They both look at each other.)

Judge: Perhaps you should heed your representations advice; take some time to consider your response.

Micheal: I’ve already done that Your Honor. (Micheal and Veronica look at each other again. Veronica looks confused. Micheal looks back to the judge.)

Judge: I’ll retire to my chambers to determine sentencing. Courts recessed until one thirty.

(People move to get up and Micheal looks at a kid sitting in the public benches. The bailiff gently nudges Micheal to get up and Veronica starts collecting her things.)

LJ: (Standing) Uncle Mike

Micheal: I didn’t want you to come. (He gets cuffed.) Go home LJ. (As he gets taken away) I didn’t want you to see this.

(He is escorted from the courtroom, leaving LJ, who lingers, looking disappointed.)

CUT TO:

[INT. HOLDING CELLS-DAY]

(Micheal is being led to his cell, with Veronica in tow.)

Micheal: He’s not going to take this well.

Veronica: Can you blame him? He’s beginning to get the idea that anybody he attaches himself to is going to end up in jail. And he’s not the only one who’s starting to feel that way. (She moves up to the bars.) Can you leave us alone for a moment?

Bailiff: (Locks up Michael’s cell) One minute.

Veronica: Don’t you understand. You just put the book in that woman’s hand and she’s going to lob it at you like a grenade. Justice and punishment are the same thing to her.

Micheal: I know.

Veronica: Then will you please tell me what’s going through your head?

Micheal: We’ve been over this.

Veronica: I’ve known you my entire life. You don’t have a violent bone in your body and I know you didn’t need the money.

(Micheal hasn’t really been looking at her, but now he turns to face her.)

Micheal: Veronica.

Veronica: Let me help you.

Micheal: You’ve been good to me, my whole life. But you gotta let me deal with this, okay?

CUT TO:

[INT. COURTROOM-DAY]

Judge: Given your lack of prior criminal record I am inclined towards probation. However the fact that you discharged a deadly weapon during the commission of the crime suggests malice to me, for that reason I find it incumbent that you see the inside of a prison Mr. Scofield. It says here that you’ve requested to be incarcerated somewhere near your home here in Chicago. I’m willing to honor that. The closest level one facility-

Veronica: (Having varying emotional phases throughout this speech, protests) Level one! That’s maximum security, Your Honor.

Judge: I would ask counsel to refrain from interrupting me. (She looks back to Micheal.) As I was saying, the closest level one facility would be Fox River State Penitentiary. As for the term of your sentence, I’m setting it at five years; you’ll be eligible for parole in half that time. Sentence to be carried out immediately.

(Zoom in on Michaels face, as the gavel sounds the end of sentencing.)

CUT TO:

[EXT. FOX RIVER STATE PENITENTIARY-JOLIET, ILLINOIS-DAY]

(Pan over the Penitentiary.)

CUT TO:

[INT. PRISON PROCESSING AREA-DAY]

Officer: Okay people, step inside the door. Keep the line moving. Let’s go. We ain’t got all day to get this done. Keep it moving. Move it.

Captain Bellick: Name and back number.

Micheal: Scofield, Micheal. 94941.

Captain Bellick: You a religious man Scofield?

Michael: Never really thought about it.

Captain Bellick: Good, because the ten commandments don’t mean a box of piss in here. We got two commandments and two only. The first commandment is you’ve got nothing coming.

Michael: What’s the second commandment?

Captain Bellick: See commandment number one.

Michael: (Smirks and looks away) Gotcha.

Captain Bellick: You talking out the side of your neck?

Michael: (Questioningly) Come again?

Captain Bellick: I said are you being a smartass?

Michael: (Deadpan) Just tryin to fly low, avoid the radar, boss. Do my time and get out.

Captain Bellick: (Menacingly) There isn’t any flying under my radar.

Michael: Good to know.

(Close up and Michael’s medical sheet. “Type 1 Diabetes.”)

CUT TO:

[INT. CELL BLOCK-DAY]

Black Prisoner: (As a guard walks by) Hey, can a brother get some air conditioning up in here?

(Prisoners are trading items, shadow boxing, etc. Michael looks on with subdued interest.)

Black Prisoner: (Shouts from a cell across the way.) Yo fish, what you lookin at? You’re kinda pretty to be up in here.

(A line of prisoners walks through the bottom deck, coming in from outside.)

Sucre: I suggest you take a seat fish. (Flipping through a magazine.) Ain’t nothing to do up in here but serve time and nobody gonna serve it for you.

(One of the prisoners gets shanked and falls. The line melts away and his moans can be heard over the increasing riot.)

Welcome to Prisonyland fish.

(Zoom out to see the entire cell block.)

CUT TO:

[INT. VERONICA’S LIVING ROOM-NIGHT]

(Veronica leans against the window, her fiancée pads down the stairs and comes to a halt at the bottom of the stairs.)

Sebastian: You wanna talk about it?

Veronica: Eh, it’s not worth talking about.

Sebastian: If it’s what keeping you up it is.

Veronica: It’s, just. It’s nothing. Michael’s case.

Sebastian: You did the best you could.

Veronica: Yeah, but he didn’t. He just sot of rolled over. Didn’t put up a fight. It’s not like him.

(Sebastian looks down and Veronica rolls her eyes.)

I’m sorry; I shouldn’t be talking about him.

Sebastian: Hey, if it’s on your mind, it’s on your mind right? Goodnight.

(He goes back upstairs and Veronica looks out the window.)

CUT TO:

[EXT. PRISON-DAY]

(Close up on a sign “Sit down when shots are fired.” Shots of prisoners coming in.)

Sucre: (Gestures to different areas.) Berendo’s got the hoops. Artenio’s got the bleachers. Woods got the weight pile and the CEO’s got the rest. I’m telling ya, the guards are the dirtiest gang in this whole place. The only thing seperatin us from them is the badge.

Michael: Who’s the pet lover?

Sucre: He’ll deny it but he’s D.B. Cooper, parachuted out of a plane thirty years ago with one and a half million in cash.

Michael: Doesn’t look like the type.

Sucre: Who does? (His attention turns.) Hey what up wholesale. You okay?

Friend: Call me greater later. What you doin with this fish man?

Sucre: (Boasting) My new cellie, Wholesale got a wired out of compensary. Anything you want, he can get it for you.

Friend: You keep handin out my jacket, I’m gonna bust your grape.

Sucre: Man you couldn’t bust a grape or nothing with a pair of cleats.

(Michael walks away, tuning them out. He focuses on the midpoint between two yellow fire hydrants and a spray of steam. Michael drops his magazine over the sewer grate and bends down, going through the motions to pick it up. Instead, he slides it between the slats, where it drops into the dirty water.)

Michael: (Getting up.) I’m lookin for someone. (Looks at them.) Lincoln Burrows.

Friend: Link the Sink.

Michael: (Walking back over to them.) Is that what they’re calling him now?

Friend: Yeah, isn’t he as in he’ll come at you with everything but the kitchen sink. Snowflake.

Michael: Where can I find him?

(Shot of Lincoln crouching on the other side of the chain linked fence. Michael and Sucre lean on the fence.)

Sucre: Man killed the Vice President’s brother. In a month he’s getting the chair, which means no one up this river is more dangerous than him cause he’s got nothin to lose now. What are they going to do? Kill him twice?

Michael: Is there a way I can get to him?

Sucre: (Makes a guttural no sound.) The only time those boys get out is for chapel and P.I.

Michael: (Calmly) P.I. What’s that?

Sucre: Prison Industry. The guys that get along get to work painting, scrapping, making mattresses u name it. I wouldn’t get excited though if I were you fish. You ain’t sniffin none of P.I.

Michael: Why’s that?

Sucre: Cause John Abruzzi runs it. (Nods off into the distance.)

Michael: John Abruzzi, John Abruzzi?

Sucre: (Confirming) John Abruzzi, John Abruzzi. Why do you want to see Burrows so bad anyways?

(Close shot of Michaels face.)

Michael: Because he’s my brother.

(Sucre gives him a second glance as Michael moves away from the fence.)

(Shot travels quickly through the underground tunnel.) (Commercial Set.)

COLD OPEN TO:

[INT. MICHAEL’S CELL-DAY]

(Michael is folding an origami duck. Shot pans up to close in on Michael’s somber face.)

CUT TO:

[INT. FOX RIVER VISITING AREA.-DAY]

Lincoln: They denied the motion.

Michael: So do it again.

Lincoln: I can’t. They set the date for May 11. That’s the day man. That’s the day that uh…u know they uh…execute.



(Michael is very solemn.)

Michael: I know. (Takes a deep breath and looks away.)

Lincoln: I didn’t kill that man Michael.

Michael: (Looking sickened) The evidence says you did.

Lincoln: I don’t care what the evidence says, I didn’t kill that man.

Michael: (Tears threatening to pour down, fiercely.) Swear to me.

Lincoln: (Looking him straight in the eye.) I swear to you Michael.

Michael: (Nods, regaining some control.) But how could they get it wrong then. The courts, the appeals.

Lincoln: Don’t know, don’t know. All I keep thinking looking back on it is that I was set up. And whoever it was who set me up wants me in the ground as quick as possible.

CUT BACK TO:

[INT. MICHAEL’S CELL]

(Shot stays on Michael’s face.)

Sucre: What’s another word for love?

Michael: What’s the context? (Looking at him from the cell door.)

Sucre: Oh you know, the I love you so much I ain’t never knockin over another liquor store again context. Except, you know…but classy.

Michael: (Amused) Hmmmm.

Sucre: I’m proposin to my girlfriend if you gotta know.

Michael: (Skeptically) In a letter?

Sucre: You gotta better way.

Michael: Face to face works pretty good.

Sucre: (Turning to look at Michael.) This place ain’t exactly the romantic spot. I’m gonna have her get on the Stanton Island ferry. Then once she’s near the Empire State building she opens the letter. (Gets excited and snaps his fingers.) It’s almost like being there. (Michael smiles bemusedly at him.) Except for the fact that I won’t be there. (Turns back to the letter.)

Michael: (Looking out again.) Try passion.

Sucre: Oh passion, that’s dope. (Sounds it out.) How do you spell that? P-a-s-h.

Michael: (Shakes his head solemnly from the door.) Uhu.

CUT TO:

[EXT. CHICAGO ALLEYWAY-DAY]

(Two boys are riding through an alley and they come to a stop.)

Friend: Hey LJ hold up.

LJ: Hold up?

Friend: I don’t know if I can go through with this.

LJ: (Looks at him reassuringly.) Everything’s going to be fine. Trust me. (Rings the doorbell.)

(The door opens and a man strides out to his car.)

Man: Do we understand each other then? Friday. Not Saturday. Not Sunday, but Friday.

LJ: (Putting his backpack on after putting the marijuana in it.) Totally understand.

Man: I don’t know hundreds. I don’t want fives. I don’t want ones.

LJ: I know, I know. Tens and twenties only.

(The two kids get back on their bikes and ride down the alley. Close up on a police officer in his car, poised with his radio in his hand.)

Police Officer: It’s on.

(As they reach the mouth of the alley a police car pulls up, cutting off the entrance of the alley. They drop their bikes and turn to run in the opposite direction just as another cop car pulls up at the other end.)

Police Officer: Stop! Police!

(The boys look defeated.)

CUT TO:

[EXT. PRISON YARD SQUARE-DAY]

(Shot of CEO tower, pan down to Michael walking over to a man playing poker.)

Michael: Abruzzi? I need you to hire a P.I. (Abruzzi slaps a card down.)

Abruzzi: (Not bothering to look at him.) Beat it.

Michael: Maybe you oughta hear what I gotta say.

Abruzzi: You got nothing I want.

Michael: (Placing an origami duck in front of him.) Wouldn’t be too sure about that.

Abruzzi: (Laughs) My mistake. Just what I need, a duck.

Michael: P.I. Abruzzi. I might just be of more assistance than you think.

(Abruzzi looks at him for the first time. His boys start to stand.)

Michael: (Backing up.) Mull it over. (Looking away and back.) Come and find me when you’re ready to talk.

(With his hands up, he turns and leaves.)

CUT TO:

[INT. CHICAGO BUTCHERY-DAY]

Maggio: Alright guys, lets pick it up. I wanna get home tonight.

(A man walks in.)

Tsili: Maggio. (Nods for Maggio to a small desk and places some papers onto them.)

Maggio: Yeah so?

Tisili: That’s the son of a bitch who fingered Abruzzi.

Maggio: Fibonacci. (Looks closer, picking up the photo.) Thought that poke was gone. Clever.

Tisili: Evidently somebody found him.

Maggio: Somebody messin with us?

Tisili: This you’re not going to believe.

(Hands Maggio a manila envelope, which Maggio looks inside of.)

CUT TO:

[INT. FOX RIVER INFIRMARY-DAY]

(Close shot of a needle poking into a heavily tattooed arm.)

Dr.Tancredi: Tattoo looks fresh. Hold that. (Gives him the gauze to apply pressure.) I guess being a diabetic you don’t mind needles.

Michael: (Changing the subject.) I’m Michael bt the way.

Dr.Tancredi: Scofield. I read your report.

Michael: And you are?

Dr.Tancredi: (Looks at him.) Dr.Tancredi will do.

Michael: Tancredi like the governor. Your not related are you? (No response.) Hmmm. (Looks away and back.) Wouldn’t expect to find the daughter of frontier Frank working in a prison, as a doctor no less.

(Dr.Tancredi looks up, a fleeting look of being uncomfortable washes across her face.)

Dr.Tancredi: I believe in being a part of the solution, not the problem.

Michael: Hmmm. Be the change that you want to see in the world.

(The comment strikes her; he looks at her and smiles.)

What?

Dr.Tancredi: (Shaking her head) Nothing. That was just my senior grade quote.

Michael: (Playful disbelief) That was you? This whole time I was thinking it was Ghandi.

(That gets a laugh.)

Dr.Tancredi: Very funny. Sit tight. Put direct pressure on that. I’ll be back in a second.

(She gets up and leaves the room. Michael watches her leave then removes the gauze and takes another origami duck out of his shirt pocket. He goes over to the corner of the room and slips it between the slats of the grate. Quickly he returns to his seat as Dr.Tancredi reenters.)

Michael: (Applying pressure.) So how do we play this? You hook me up with a three week supply?

Dr.Tancredi: Nice try. No hypos on the floor.

(They are both smiling.)

Michael: I’m the farthest thing from a junkie, trust me.

Dr.Tancredi: I got news for you Michael, trust me means absolutely nothing inside these walls. The only way you’ll get that Insulin is if I’m the one administering it.

Michael: Guess we’ll be seeing a lot of each other then.

Dr.Tancredi: (Trying to stay professional with an easy smile.) I guess so.

CUT TO:

[INT.PRISON DRAIN-DAY]

(Zoom along the drain to follow the origami duck.)

CUT TO:

[EXT. SECRET SERVICE HEADQUARTERS, WASHINGTON D.C.-DAY]

CUT TO:

[INT. AGENT KELLERMAN’S OFFICE-DAY]

Agent Hale enters and closes the door.

Hale: We’re all clear on the Burrows execution.

Kellerman: Good.

Hale: Except for one thing. Bishop McMurrow is not in the fold.

(Kellerman doesn’t respond.)

He’s got a lot of influence with the governor. They went to prep school together.

(Kellerman gives him a disdained look.)

Look, the closer this thing gets, the more I’m worried that the bottom is going to fall out of this whole thing.

(Kellerman sighs and leans back in his chair, pondering.)

Kellerman: Well, maybe it’s time that we paid a visit with the good Bishop. (Hale nods uncertainly.) Look, in a month, it’ll all be over.

CUT TO:

[INT. FOX RIVER CHAPEL-DAY]

Chaplain: The son of man must be delivered into the hands of sinners and be crucified. (Shot of Lincoln sitting in a pew.) And on the third day rise again. And they remembered his words and so should you. Good day gentlemen, may God be with you.

(The prisoners all rise in the motions of leaving the Chapel. Lincoln stands awkwardly in all his chains and turns into the pew aisle where he comes face to face with Michael.)

Lincoln: (Disbelief) Michael?

(There is a long look shared between them before Lincoln steps closer.)Why?

Michael: (Stepping forward to meet him.) I’m getting you out.

CO: Burrows. Roll it up. Happy hours over.

Lincoln: (Ignoring) That’s impossible.

Michael: Not if you designed the place it isn’t.

(He smiles and walks away. Shot goes quickly through the tunnels before going to Commercial set.)

COLD OPEN TO:

[INT. VERONICA’S LIVING ROOM-DAY]

(Close up on wedding invitations.)

Veronica (V.O.): Too formal.

(Shot pulls out to show Veronica and Sebastian picking out invitations.)

Too greeting card.

Sebastian: Well, we gotta make decision sooner or later you know.

Veronica: We have time.

Sebastian: We don’t actually. (Pushes a lock of hair off her face.) I mean at some point we have to pull the trigger on this thing.

Veronica: I don’t want to rush this. We’re only going to do this once. We have to get it right.

(Sebastian moves the selection book off their laps and settles in for a serious conversation.)

Sebastian: Can I ask you something?

Veronica: Of course.

Sebastian: Are you putting this off?

Veronica: What do you mean?

Sebastian: I mean, are you having second thoughts?

Veronica: No. Honey, no, I’m not.

Sebastian: I don’t know. I can’t help thinking that this is about-

Veronica: (Cuts him off quickly) It’s not. I love you and I wanna be your wife. (They kiss)

CUT TO:

[INT. CELL BLOCK/MICHAEL’S CELL]

Sucre: Passion? What were you thinking?

Michael: Hey. You went for it.

Sucre: She probably thinks I went sissy up in here. You know, got more than one syllable, too much talking. (Michael smiles throughout this.) That’s me from now on. One syllable. Yes, no, love, hate, love.

Michael: Give it time.

Sucre: Are you kidding me? I proposed to her. That doesn’t take time. Si or no. One syllable man. She’s supposed to come around for a conjugal on Tuesday. She‘s always callin me beforehand, letting me know she’s coming. This time man, I ain’t heard a peep. You spooked her. (Michael smiles, amused.)

CO: Scofield, get it together. Pope wants to see you.

Sucre: Oh. Not good fish. No one gets an audience with the Pope. Not unless he’s real interested in what you got going on.

CUT TO:

[EXT. ADMINISTRATIVE BUILDING-DAY]

Pope (V.O.): Top of your class at Loyola. Magna Cum Laude in fact. (Pope takes off his glasses and looks at Michael.) I can’t help wondering what a man with your credentials is doing in a place like this.

Michael: Took a wrong turn a few months back I guess.

Pope: You make it sound like a traffic infraction. Like all you did was turn the wrong way up a one way street.

Michael: Everyone turns up one sooner or later.

(Pope comes around the desk and stands in front of Michael.)

Pope: The reason that I called you here. I noticed in your file under occupation you put down unemployed. That’s not true now is it? (Sits on the edge of the desk.) I know you’re a structural engineer Scofield.

(Close up on a model of the Taj Mahal. Pan around the model to rest on Michael and Pope looking at it.)

Pope: Shah Jahan built the Taj Mahal as a monument to his undying love for his wife. My wife is quite fond of the story. It appeals to the romantic side of her. (Turning to Michael) Being married to someone on corrections, it’s a terrible job, wouldn’t wish it on anybody. And yet, in thirty-nine years my wife has never complained and the worst part is I’ve never thanked her. So because I couldn’t say it I thought, you know, I could build it. In June, it’s our fortieth anniversary. Well here, look. (They bend down to look into the base of the structure.) The problem is, I build anymore and it’s all going to come down like a house of cards. That’s where I was hoping you could be of assistance. For the favor, I could offer you three days of work a week in here and it’ll keep you off the yard.

(Michael thinks about it and stands, Pope follows suit.)

Michael: I can’t do it.

Pope: Son, it’s better for me to owe you one in here than it is for you to owe me one I can promise you that.

Michael: I’ll have to take my chances.

Pope: Then we’re through here. Guard!

CUT TO:

[INT. LJ’S KITCHEN-DAY]

Lisa: Two pounds of pot! What were you trying to do? Set a new record? (LJ smiles at that.) It’s not funny LJ; you could be going to jail. Now it’s pretty obvious to me that you need some guidance.

(Her new husband comes into the kitchen.)

Adrian: (Picks up his meal and gives her a kiss.) Hey thanks.

LJ: From who? Old daddy Warbucks.

Lisa: Give him a chance, he’s a good man.

LJ: We got nothing in common.

Lisa: Oh! Where is this all coming from LJ? Last semester you were getting straight A’s and now… (Realizing) It’s your father isn’t it?

LJ: I don’t have a father.

Lisa: It wasn’t immaculate conception honey, trust me. Maybe it’s time we went and saw him. (She starts tidying up.)

LJ: (Alarmed) Mom. Mom. Don’t.

Lisa: I’m about as excited as you by the prospect, but something’s gotta give. You have too much potential to be screwing up your life like this.

CUT TO:

[INT. FOX RIVER VISITING AREA-DAY]

(Veronica and Michael are sitting at a small round table.)

Veronica: And what if they sent you to Taylorville, Marion and not here?

Michael: I could be doing the same thing I’m doing here. (Makes a joke out of it.) Eatin jello, drinkin Kool-Aid.

Veronica: I know what you’re doing! It’s not the luck of the draw that you’re in here with Lincoln. You forget that, I know you. Both of you. You two have the most dysfunctional idea of love I’ve ever seen. (Michael looks down.) What, he beats you up to keep you off the streets and you end up in Fox River with him. To what? To save him? (There’s tension now.) I deserve to know. I loved him as much as you did.

Michael: Past tense for you maybe, not me.

Veronica: I gave him a shot when I got back from college, I did. Even with everything that was going on with him, I tried to make it work. And he threw it all away.

Michael: You ever think that he was hurt that you left in the first place?

Veronica: Don’t do this. Whatever you’re doing, don’t do it. There’s a better way. I’m already appealing your case.

Michael: I told you to leave that alone.

Veronica: I’ve gotten in touch with the Diesis about Lincoln and the bishop may be able to help.

Michael: (Evenly, cutting her off.) That won’t stop it, it’ll only delay it. You wanna do something, you find out who’s trying to bury him.

Veronica: Nobody’s trying to. The evidence was all there.

Michael: The evidence was cooked.

CO: Visiting hours are over.

(They get up and embrace tightly.)

Veronica: Take care of yourself.

Michael: Somebody wants him dead Veronica. Something more is going on here.

(They break apart.)

Veronica: This is desperation Michael, grabbing at straws.

Michael: Maybe. But I can’t watch him die. I won’t do that.

(She leaves him standing by their little table.)

CUT TO:

[INT. FOX RIVER VISIT EXITING AREA-DAY]

(Lincoln comes in from outside and sees on the other side of the bars Veronica, signing out and leaving.)

CUT TO:

[EXT. BISHOP MCMURROWS HOUSE-DAY]

(Two agents knock on his door. The Bishop answers.)

Bishop McMurrow: Gentlemen.

CUT TO:

[INT. BISHOPS STUDY-DAY]

Bishop McMurrow: What is it about the Burrows situation that I can help you with.

Kellerman: It’s our understanding that you have influence with the governor.

Bishop McMurrow: I wouldn’t call it great or influence. We’re friends.

Kellerman: It’s also our understanding that you’re opposed to the death penalty.

Bishop McMurrow: I’m a man of God, how could I not be?

Kellerman: In this case, we’re hoping you’ll suspend that position, at least temporarily.

Bishop McMurrow: If an inmate appeals to me for intervention, how can I turn my back on him?

Kellerman: You have a habit of answering a question with a question.

Bishop McMurrow: And you have a way of asking questions that beg more questions.

Kellerman: (Getting irritated.) Are you saying you won’t do it?

Bishop McMurrow: I’m not a man to equivocate.

Kellerman: You’re what, sixty two years old now Your Excellency?

Bishop McMurrow: That’s correct.

Kellerman: I assume then that you would be well versed in how our country’s tax system works. Taking personal capital gains under the church tax shelter. That would be fraud, wouldn’t it Your Excellency?



Bishop McMurrow: I will not be cowed into forsaking my beliefs. Not by you or anyone else.

Kellerman: Admirable. (Gets up.) Good day Your Excellency.

Bishop McMurrow: (Stands up too) Mr. Kellerman, what is it about this case that the secret service is so interested in?

Kellerman: He killed the Vice President’s brother. (He walks out.)

(Close up on the Bishops face.)

CUT TO:

[EXT. PRISON YARD-DAY]

Abruzzi: (On the phone) What are you saying?

Maggio: You heard me. Someone found Fibonacci. I’m looking at the photo right now. This son of a bitch has a beard, sunglasses. Witness protection file.

Abruzzi: Who is this someone?

Maggio: There was no return address on the envelope. Just this folded up bird made of paper.

Abruzzi: (Realizing) Like origami?

Maggio: Yeah. Like that, origami.

(Abruzzi hangs up the phone. Shot goes to Michael, who looks down at the grate with a soggy magazine in it. He turns to find “D.B Cooper” looking at him. D.B looks away but Michael goes over and sits down.)

Michael: (Looks straight ahead) Your Charles S. Moreland right?

Moreland: Do I know you?

Michael: Knew your wife before she passed.

Moreland: You knew Marla?

Michael: (Looking at him.) You mean Ann?

Moreland: How’d you know her?

Michael: We taught in Boston together.

Moreland: East Farmington.

Michael: You mean West Wilmington.

Moreland: (Smiles and looks at him.) No more tests, promise. Seems you know everything about me. Who are you?

Michael: Michael Scofield. How’d you get it in here?

Moreland: (Strokes the cat.) First of all, she’s not an it. She’s Marilyn. And she’s a grandfather, back in the days when prisoners were allowed a creature comfort or two.

Michael: Heard you were D.B Cooper.

Moreland: Every new fish comes in here and the first thing they hear is that Charles West Moreland is D.B. Cooper. I tell you like I tell them. You want the Cooper story, I can’t give it to you, cause I’m not him.

Michael: That’s too bad. Sort of wished it was. Man’s a legend.

Moreland: Nowhere near as much as I wish it were true my friend. I’d have one million in cash waiting for me on the outside.

(Abruzzi walks up with his boys.)

I’d put some grass between them if I were you. (He gets up and leaves.)

Michael: You know, this would go a whole lot easier it you would just hire me.

Abruzzi: What’s this all about?

Michael; Say you were able to get outside there walls, would you have the people in place to help you disappear forever?

Abruzzi: Why do you care?

Michael: Just curious.

Abruzzi: Where’s Fibonacci?

Michael: That’s not the way it works.

(Abruzzi stares at him for a few long moments before he turns away. His boys step forward and Michael stands up.)

Michael: They com at me John and I’m coming after you.

Abruzzi: I doubt it.

(One Abruzzi’s boys gut punches Michael, who immediately retaliates with a lunging punch into Abruzzi’s jaw. He gets shoved into the ground, face first and two men take turns beating him until a guard tower CEO shoots bullets around the gathering group of brawling men.)

CUT TO:

[INT. POPE’S OFFICE-DAY]

Pope: I misjudged you Scofield; I didn’t think you were the agitating type. Behavior like that is not tolerated in my prison. Ninety days in the shoe, that’ll convince you of that.

Michael: Ninety days?

Pope: That’s right.

(Michael steps forward and looks at Pope’s desk calendar. April 11.)

Something you want to say?

Michael: (Tries to play his card right.) It’s just…I’m not of much value to you in the shoe.

Pope: Value?

Michael: Hmmm. The Taj. It’d be a shame for the eighth wonder of the world to collapse because the stress isn’t properly propagated.

Pope: (Worried) Properly propagated?

Michael: Properly propagated. The joints are overloaded. They won’t provide anywhere neat the strength the completed structure will need.

(Pope walks over to Michael.)

Pope: How much work are we talking about?

Michael: You want it by when? In June?

Pope: Yes.

Michael: Then we’d better get started. Wouldn’t you say?

CUT TO:

[INT. BISHOP MCMURROWS BEDROOM-NIGHT]

(Zoom in slowly on the sleeping Bishop. A shadow can be seen behind a cross on his nightstand. A creak is heard and that wakes the Bishop up.)

Bishop McMurrow: Who’s there?

(He slowly sits up in bed and disbelief etches across his face. He sees the barrel of a silencer gun which fires. Commercial Set.)

COLD OPEN TO:

[INT. VERONICA’S OFFICE-DAY]

Colleague: Bishop McMurrow was killed last night. Someone shot him while he was sleeping. I thought you’d want to know.

Veronica: (Blown away) Thanks. (Leans back in her chair, looking at a circled date on her calendar.) Michael was right.

(She goes to a filing cabinet and pulls out the Lincoln Burrows vs the State of Illinois file.

CUT TO:

[INT. FOX RIVER DEATH ROW-DAY]

(A guard walks down the hall to Lincoln’s cell.)

CUT TO:

[INT. FOX RIVER VISITING AREA-DAY]

(Lincoln walks up to the booth to see his ex-wife and LJ waiting there.)

Lisa: He was arrested.

Lincoln: For what?

Lisa: Possession of marijuana. I figured he could some fatherly advice before-

Lincoln: He’s gone forever.

Lisa: I didn’t mean that.

Lincoln: (Sincerely) I know you didn’t. (He nods at her and she walks off.) So. (They both sit down.) Dope, huh? Usin or dealin?

LJ: What’s the difference?

Lincoln: Then what, you think it gives you street cred? You got a piece of the good life. Take advantage.



LJ: Look I get it okay, the whole thing. She drags me in here; you give me a big speech. I walk out a changed man. Straight A’s, Harvard, grow up and become a dentist.

Lincoln: (Pained) It’s better than being in here. You gotta realize who’s getting punished when your doing what your doing. You think its me, it’s you. I did the same thing, punish the old man for leaving and look where it got me. I’m not asking you to love me. I already screwed up that chance long ago. I’m asking you to love yourself. (Throughout this LJ’s been trying to silently tune him out.) So put the brakes on this thing.

LJ: (Brushing everything off.) So that’s what fatherly advice is like. (He gets up.)

Lincoln: What are you doin?

LJ: I got homework.

Lincoln: They’re putting me to death LJ. In a month’s time I’ll be dead, you get that?

LJ: (Disgusted) You’re already dead to me. (Walks off.)

CUT TO:

[INT. CONJUGAL ROOM-DAY]

(Sucre has been sitting on the bed, worried, Spanish music playing the background.

Sucre: (Gets up) Oh no! (He goes to the door, which opens, revealing a woman.)

Maricruz: (Smiling) Yes!

Sucre: What you mean yes, yes?

Maricruz: Yes, yes.

Sucre: Yes! (They grab each other. Kissing.)

Maricruz: Wait, there’s just one thing.

Sucre: Of course. (He kisses her.)

Maricruz: Mama wants to wait until you get out.

Sucre: Of course mama. (He kisses her again.)

Maricruz: And we have to get married in a church.

Sucre: Okay. (He kisses her again.)

Maricruz: A Catholic church.

Sucre: (Undoing her shirt) Wouldn’t want to mess with Catholic rules would we?

(They fall onto the bed.)

CUT TO:

[INT. FOX RIVER INFIRMARY-DAY]

Dr. Tancredi: You went to Leola? (Plops into her rolly chair.)

Michael: (Perched on the examining table.) You’ve been checking up on me.

Dr. Tancredi: I like to get to know my patients. I went to North Western. Graduated a year after you did.

Michael: Maybe we met before. You know, drunk out at a bar somewhere.

Dr. Tancredi: I would have remembered.

Michael: Is that a compliment?

Dr. Tancredi: No. Hmm.

Michael: What?

Dr. Tancredi: Your blood glucose is at fifty milligrams per deciliter. Your body’s reacting to the insulin as though your not a diabetic. Are you sure it’s Type 1 Diabetes you got.

Michael: Ever since I was a little kid.

Dr. Tancredi: Alright. Not experiencing any tingling sensations, cold sweats?

(Michael shakes his head and is saved by the phone. He gets and walks over to the barred window, looking outside. He notices his right hand is shaking and smoothes his left thumb over the palm. Dr. Tancredi gets off the phone.)

I’d like to run some tests the next time your in. The last thing I want is to be administering insulin to a man who doesn’t.

Michael: (Feigning a smile.) Yeah, sure.

Dr. Tancredi: okay.

(Michael looks worried.)

CUT TO:

[INT. FOX RIVER CONJUGAL ROOM-DAY]

(Maricruz and Sucre are getting their clothes back on after their visit.)

Sucre: So how’d did you get here, by the way?

Maricruz: O h, you know (Pulls a boot on.)

Sucre: No I don’t. That’s why I asked.

Maricruz: You know. Hector.

Sucre: WHAT?

Maricruz: I didn’t have any money for the bus, so he offered me a ride, he was really sweet.

(Sucre stands up, upset.)

Honey, he’s just a friend.

Sucre: No, he’s not just a friend. I know Hector. I know men. I know women. I know women and men can’t be friends. A guy doesn’t drive a girl five hundred miles across the state line because he wants to be friends.

CO: Casanova, wrap it up.

Maricruz: Hey, you got nothing to worry about. (She goes over to him.) It’s you I’m marrying. (She kisses him.)

Sucre: It’s not you I’m worried about. (He kisses her.)

Maricruz: Sixteen more months. (They kiss again and she leaves.) I love you.

CUT TO:

[EXT. PRISON YARD-DAY]

(Transaction of goods passes between two black inmates.)

Michael: Sucre tells me you’re the local pharmacy.

(Man looks behind Michael at Sucre.)

C-Note: What you need man?

Michael: Pugnac.

C-Note: I only speak in English, white boy.

Michael: It’s an insulin blocker. Standard over-the-counter variety. You can get it at a pharmacy.

C-Note: You can get it at medical then.

Michael: Only I can’t get it at medical.

C-Note: Why not?

Michael: (Mischievously) Because they’re already giving me insulin shots.

(They share a laugh.)

C-Note: Your one mixed up cracker you know that?

Michael: Can you get it for me or not?

C-Note: Only if you tell why is it you want to keep going back up to medical to get an insulin shot for which you don’t need.

Michael: I like the ambiance. (He gives C-Note a knowing smile.)

C-Note: (Playing along.) Uhuh.

Michael: Are we in business? (Holds out a folded bill, discreetly.)

(C-Note takes it and walks off. Michael watches him go then walks off in the opposite direction.)

CUT TO:

[INT. MICHAEL’S CELL-DAY]

CO: Scofield! I don’t know what you did but Abruzzi wanted me to give you this P.I. card. Congratulations, you just joined the ranks of the employed.

(Michael looks at the card, quietly pleased.)

CUT TO:

[INT. FOX RIVER ADMINISTRATIVE HALLWAY-DAY]

(Lincoln is whitewashing a wall. The shot pulls back to show Michael painting a wall not fifteen feet away.)

Abruzzi: (Into his ear) Kudos fish, you got spine.

CO: Alright cons. Break it down.

(The inmates move and pick up their materials.)

Lincoln: Saw Veronica came by yesterday. Still engaged to that guy?

(Hands his supplies to the CO, Michael does the same.)

Michael: Yup.

Lincoln: That could have been me.

Michael: If you hadn’t self destructed.

(Lincoln looks at him sharply.)

Lincoln: You think I meant to knock up Lisa Richs? I was just being stupid with her. Shouldn’t have pushed here away though.

Michael: You pushed everyone away. (Michael gives him a look and Lincoln gets it.)

Lincoln: I’m an anchor; all I’ll do is drag him down with me. (He walks away to change.)

Man: Why’d you hire him?

Abruzzi: Keep your friends close and your enemies closer. (He watches Michael sit on a bench.)

Lincoln: (Sitting down beside him.) You mean what you said earlier?

Michael: I’m not here on a vacation, trust me.

Lincoln: Getting outside these walls, that’s just the beginning. You gonna need money.

(Michael looks at Moreland take off his shoes.)

Michael: I’ll have it.

Lincoln: And people on the outside who can help you disappear.

Michael: I’ve already got them. (Looks at Abruzzi in line.) They just don’t know it yet.

Lincoln: Whatever you got going on, fill me in cause I’m in the dark here.

Michael: Schappelle and Associates got the contract to retro this place in ninety nine. Four million dollar contract, head partner couldn’t crack it, so he subcontracted out. An under the table sort of deal with a former associate. That guy was one of the partners in my firm. Who basically goes through the plan, crossed the t’s, dotted the I’s, grouted the tiles.

(Lincoln confused, thinks for a moment.)

Lincoln: You’ve seen the blueprints.

(Shot widens to expose Michael, shirtless. Tattooed from his collarbone down.)

Michael: Better than that. I’ve got them on me.

(Lincoln looks, his eyes widening.)

Lincoln: Are you kidding me. Am I supposed to be seeing something?

Michael: Look closer.

(Camera zooms into a torso shot as a detailed outlined blueprint emerges from the tattoo. He turns around and the same thing happens on the other side. Shot zooms into the tattoo reemerging within the walls, finally coming out of the grate in the prison yard with the magazine in it. Camera zooms out until the entire prison complex can be seen from above.)

Kikavu ?

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